mardi 16 octobre 2012

90 ans depuis le couronnement des rois de la Grande Roumanie

Il y a 90 ans, le 15 octobre à Alba Iulia avaient lieu les cérémonies de couronnement du roi Ferdinand et de la reine Marie en tant que souverains de la Grande Roumanie. Le moment se déroulait devant la Cathédrale de la Réunification étant le corollaire de l’union de toutes les provinces roumaines en un seul Etat, après la Première Guerre Mondiale. Selon les historiens, participaient à l'évènement quelques 80 milliers de personnes dont des membres des familles royales d’Europe et des officiels diplomatiques.

En 2012, aux cérémonies de Alba Iulia étaient présents les membres de la famille royale , la princesse Margareta, le prince Radu et le prince Nicolae de Roumanie. Personnalité marquante de la monarchie en Roumanie, symbole de l’unité nationale et surnommé « l’Intégrateur », le prince Ferdinand est né en Allemagne. Le prince romano-catholique Ferdinand Viktor Albert Meinrad de Hohenzollern-Sigmaringen était le fils de Léopold et de l’infante Antonia du Portugal.

Le jeune Ferdinand devient héritier de son oncle, le roi Carol I de Roumanie après la renonciation au trône de son père et de son frère aîné Wilhelm. En 1893, il prend pour épouse la princesse Maria d’Edimbourg, nièce de la reine Victoria de Grande Bretagne et du tsar Alexandre II de Russie.

En 1914, à l’âge de 49 ans, après la mort de son oncle Carol I, Ferdinand devient roi de Roumanie mais le moment historique qui le fait entrer dans la conscience des Roumains a lieu 2 ans plus tard. En août 1916, le roi préside le Conseil de la Couronne qui prend une décision dramatique: l’entrée en guerre de la Roumanie contre l’Allemagne, pays natal du roi.

En dépit du fait que sa famille l’a renié par la suite, il a fait preuve de loyauté vis-à-vis de son pays d’adoption franchissant, ainsi, le pas le plus important pour l’accomplissement de la Grande Union de 1918 qui a mené à la consolidation de l’Etat national unitaire roumain.

Pendant ses 16 ans de règne, la Roumanie connut d’importants progrès sur tous les plans: culturel, politique, économique, un dynamisme vraiment remarquable, démonstration éloquente de la vocation constructive et de l’intelligence du peuple roumain auquel s’identifiait le roi Ferdinand.

Depuis 1890, celui-ci devient membre d’honneur de l’Académie Roumaine et, depuis 1914 jusqu’à sa mort en 1927, protecteur et président d’honneur de cette institution. Aux moments cruciaux de l’histoire de la Roumanie, il a été soutenu en permanence par la reine Maria. Cultivée, intelligente, active, la reine s’était engagée dans l’accomplissement des destinées de la Roumanie étant, également, un ambassadeur remarquable du pays.

« J’ai su mettre la Roumanie sur la carte » - écrivait le reine Maria et les historiens s’accordent pour dire qu’elle n’exagérait nullement… (aut. : Mihai Pelin ; trad. : Costin Grigore)

Sources: Radio Romania International






dimanche 14 octobre 2012

14 octobre: célébration de Ste Parascève la Jeune


Selon le calendrier orthodoxe, le 14 octobre, on célèbre plusieurs Saints. Parmi eux, se trouve Sainte Parascève la Jeune (en roumain: Sfânta Cuvioasa Parascheva), sainte patronne de la Moldavie. Ses reliques sont exposées dans la Cathédrale de la Métropole (Catedrala Mitropolitană) de Iaşi. Chaque année, le 14 octobre donne lieu à un pèlerinage auquel participent des milliers de chrétiens venus de tout le pays. Pendant plusieurs jours, les reliques de la sainte sont exposées à la vénération des fidèles.

Mais qui était Sainte Parascève la Jeune?
Sainte Parascève est née au début du XIème siècle dans le village d'Epivate en Thrace dans une famille plutôt aisée. Alors qu'elle n'a encore que 10 ans, elle excelle déjà dans les saintes vertus évangéliques et, à l'insu de ses parents, elle échange ses riches vêtements contre des haillons des mendiants. Brûlant d'un saint désir, elles délaisse les siens et renonce à ses biens pour aller à Constantinople afin d'y vénérer les précieuses reliques qui y sont conservées en grand nombre. De là, elle se rend à Héraclée du Pont (auj.Karadeniz Eregli en Turquie) pour échapper aux recherches de ses parents et passe 5 ans dans la solitude, le jeun, les veilles, les larmes et la prière continuelle auprès d'une petite église dédiée à la Mère de Dieu.

Comme tout chrétien, la sainte désire ardemment vénérer les lieux où a marché le Seigneur. C'est pourquoi elle quitte sa retraite pour se rendre à Jérusalem.Après avoir vénéré les Lieux Saints, elle part s'installer dans un monastère du désert du Jourdain, où les moniales vivent dans une ascèse très rigoureuse. (...) Parvenue à l'âge de 25 ans, elle s'embarque pour Joppé (auj. Jaffa en Israël) pour rejoindre sa patrie. De Thrace, elle revient vénérer les reliques de Constantinople puis s'installe non loin de son lieu d'origine, dans le village de Callicrateia (auj. Mir Marsinan en Turquie), auprès d'une église dédiée aux Saints Apôtres. C'est là qu'elle décède deux ans plus tard.

Les reliques de Sainte Parascève la Jeune
Ses reliques furent découvertes à la suite d'une vision, au bout de longues années. Elles furent alors déposées au monastère de Tarnovo par le roi de Bulgarie, Jean Asen II (1218 - 1241). Après la prise de la ville par les Turcs, elles furent transférées à Vidin (Bulgarie) puis à Belgrade. Lorsque la ville tomba sous l'occupation ottomane en 1521, les reliques furent envoyées à Constantinople et de là, le prince de Moldavie, Vasile Lupu, les fit transférer à Iaşi, sa capitale.

File de 4 kilomètres de pèlerins venus vénérer les relique de Sainte Parascève 

Les reliques de la Sainte lors de la procession




Internet: Métropole Orthodoxe Roumaine

vendredi 12 octobre 2012

Football Turquie-Roumanie: Hai România!!!!

Ce soir, ce joue un match important pour nos Tricolorri roumains. Ils rencontrent à Istambul (Stade Sukru Saracoglu) les Turcs en match éliminatoire de la Coupe du Monde 2014.

L'entraîneur, Victor Piturca, a annoncé la liste des joueurs retenus pour ce match et celui face aux Pays - Bas de mardi.

Gardiens: Ciprian Tătăruşanu (Steaua), Costel Fane Pantilimon (Manchester City), Mircea Bornescu (Petrolul)

Défenseurs: Srgian Luchin, Dragoş Grigore (ambii Dinamo), Gabriel Sebastian Tamaş (West Bromwich Albion), Dorin Goian (Spezia Calcio), Răzvan Raţ-Dincă (Şahtior Doneţk), Valerică Găman (Astra Ploieşti), Florin Gardoş, Vlad Chiricheş, Iasmin Latovlevici (toţi Steaua)

Milieux: Răzvan Cociş (FC Rostov), Gabriel Torje (Granada), Costin Lazăr (PAOK Salonic), Adrian Popa, Mihai Pintilii, Alexandru Bourceanu, Cristian Tănase, Alexandru Chipciu (toţi Steaua), Alexandru Maxim (Pandurii)

Attaquants: Adrian Mutu (AC Ajaccio), Bogdan Sorin Stancu (Orduspor Kulubu), Ciprian Andrei Marica (FC Schalke 04) şi Gheorghe Grozav (Petrolul).



Composition du 11 de départ: 
Tătăruşanu - Tamaş, Chiricheş, Goian, Raţ - Pintilii, Bourceanu - Torje, B. Stancu, Grozav - Marica.

Adrian Mutu qui joue à l'AC Ajaccio débutera la rencontre sur le banc des remplaçants. Choix tactique?







mardi 9 octobre 2012

Roumanie: le marché du vin


2012 semble avoir été une bonne année pour le vin roumain. Les conditions climatiques ont permis une bonne accumulation de sucres dans le raisin, assurant une excellente qualité du vin. Du point de vue quantitatif pourtant, la production a été inférieure par rapport à 2011.

Ovidiu Gheorghe, président du Patronat national de la vigne et du vin explique: « Cette année , les vendanges ont débuté 2 ou 3 semaines plus tôt que d’habitude ce qui met en évidence la très bonne qualité du vin roumain de cette année, en fait du vin européen en général, car cette bonne situation a été enregistrée dans toute l’Union. La quantité est diminuée de quelques 30% à l’échelon national vis-à-vis de l’année dernière car le gel tardif et la sécheresse prolongée de cet été e eu des effets négatifs, à l’exception des zones de Banat et Dobroudja qui n’en ont pas affectées de façon significative, enregistrant, même, des hausses de volume, même si dans des régions viticoles importantes telles Vrancea, le nord et le sud de la Moldavie et Mehedinti les baisses ont été bien sensibles. La qualité du vin de cette année sera très bonne en dépit du prix de revient qui a augmenté à la suite de la moindre production. »

Selon les statistiques du ministère de l’Agriculture, en 2011 la production de vin s’est chiffrée à environ 4 millions d’hectolitres, progressant de 23% par rapport à 2010, lorsqu’elle a atteint 3,3 millions d’hectolitres. La production totale pourrait pourtant être plus grande si l’on y ajoute les quantités provenant des petits producteurs.

Le marché roumain du vin tel qu’il est présenté par les statistiques représente en fait la moitié de la consommation réelle; s’y ajoutent les quantités commercialisées ou consommées par les petits producteurs eux-mêmes et celles mises en vente sur le marché parallèle.

Pourtant, à part la crise financière et la sécheresse, les producteurs roumains de vin sont également confrontés à d’autres problèmes qui mettent en danger leurs affaires, dont l’apparition des grossistes. Ces intermédiaires ont bouleversé la distribution et la vente de vin en vrac.

Ovidiu Gheorghe: « Depuis 2008 le marché du vin a baissé des 500 millions euros estimées par le patronat du domaine aux 250 millions comme valeur de production. Cette année nous espérons une stagnation du marché, le caractéristique qui vaut la peine d’être mise en évidence étant celle que l’on s’attend que toute l’économie en emboîte le pas. Le marché a été segmenté ce qui fait une croissance de quelques 15% du vin premium. En échange , ces 4 dernières années, une baisse de 10% par an a été enregistrée quant au vin moyen. En tout et pour tout, le marché a augmenté, comme tendance générale. »

Ovidiu Gheorghe estime que les importations de vin ont augmenté en 2012, de grandes quantités de vin bon marché provenant d’Espagne et d’Italie ayant pénétré cette année sur le marché roumain. Pourtant, les prix de ces vins-là ont eux aussi presque doublé en 2011. Si l’année dernière, un litre de vin importé coûtait 30 centimes d’euro, cette année les prix ont progressé à 55 centimes d’euros – précisait le président du Patronat national de la vigne et du vin. « Les 10% sont destinée à l’exportation. Je voudrais remarquer la hausse, en 203, du vin importé, surtout d’Espagne et d’Italie sous le label « produit et mis en bouteille dans l’Union Européenne » Du point de vue de l’exportation, notre marché principal demeure celui de l’Allemagne. Depuis quelques années, on compte aussi les Etats Unis et la Russie et, depuis 2 à 3 ans, la Chine a tendance à devenir le principal importateur de vins roumains.»

Grâce aux fonds européens alloués au secteur viti-vinicole, des investissements importants y ont été réalisés ces dernières années au niveau national: remplacement des vignes vieillies et des variétés de vigne, pour les adapter aux exigences du marché international. Entre 2007-2011, ce domaine a réussi à attirer plus de 166 millions d'euros de fonds européens.

La société Vincon Vrancea, un de nos plus grands producteurs de vin, de vin distillé et de boissons spiritueuses envisage d’investir en 2013-2014 quelque 3 millions d’euros, dans la construction d’un centre de vinification à Huşi.

Les caves « Beciul Domnesc » sont la plus grande vinothèque de Roumanie, avec une collection de plus de 100 mille bouteilles, dont les plus vieilles remontent à 1949. Ces caves – monument historique ont été fondées pendant le règne d’Etienne le Grand, au XVe siècle, et elles figurent dans les programmes de conservation de l’UNESCO.

La Roumanie compte parmi les 15 plus grands producteurs mondiaux de vin et elle se classe 6e en Europe, après la France, l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne et le Portugal. La Roumanie occupe également la 5e place parmi les pays viticoles européens, avec une superficie de 183.400 hectares de vigne en 2010.

Quant à la consommation annuelle de vin en Roumanie, elle se chiffre à 24 litres par habitant, soit la moitié par rapport à la consommation moyenne dans les pays développés – où elle se monte généralement à 50 litres par habitant. En France, la consommation se chiffre à 58 litres par habitant, en Italie à 53 litres par habitant, alors qu’aux Etats-Unis elle atteint à peine à 13 litres par habitant. (Aut.:Teofilia Nistor; Trad.: Costin Grigore, Dominique)
Source: R
adio Romania International


Beciul Domnesc rosé

Angelli, Cuvée Imperial, demi-sec

Prahova Valley, Reserve, rouge

Murfatlar, Zestrea Pinot Noir, demi-doux

Prahova Valley Feteasca Neagra, rouge

Lacrima lui Ovidiu blanc, doux

Murfatlar Zestrea Cabernet Sauvignon rouge, demi-sec

Jidvei Feteasca Alba blanc, sec

Busuioaca de Bohotin, rosé doux

Famaioasa Româneasca, blanc doux

Beciul Domnesc Cabernet Sauvignon rouge, sec

Jidvei Feteasca Regala blanc, demi-sec



Bucarest: Le Palais Cantacuzino


Muzeul National George Enescu-Palatul Cantacuzino, Bucuresti














Le Label du Patrimoine européen est présent en Roumanie aussi, attaché à plusieurs bâtiments. Parmi eux – le Palais Cantacuzino (Cantacuzène) de Bucarest, qui accueille le Musée national « George Enescu ». Sis au 141 Calea Victoriei (avenue de la Victoire), ce bâtiment est un des plus beaux et des plus imposants d’un coin de Bucarest qui n’est pas en manque de tels monuments. 

Laura Manolache, directrice générale du Musée national « George Enescu », présente les éléments essentiels de l’histoire du bâtiment : «Le palais est le produit de la volonté de l’homme le plus riche de la Roumanie de la fin du 19e et du début du 20e siècles, Gh. Grigore Cantacuzino, appelé aussi le Nabab, qui détenait une immense propriété foncière dans le sous-sol de laquelle il y avait même du pétrole. Chef du parti conservateur, ancien premier ministre, Gh. Grigore Cantacuzino était le maire de la capitale au moment où il a décidé de se faire bâtir la demeure la plus luxueuse de Bucarest. Il a choisi un jeune et prometteur architecte, Ioan Berindei de son nom, ainsi que plusieurs peintres roumains très connus de l’époque : G.D. Mirea, Nicolae Vermont et Costin Petrescu, l’auteur de la fresque qui orne la grande salle de l’Athénée roumain. »

Le palais Cantacuzino, dont le style éclectique d’une richesse exceptionnelle attire tous les regards, est orné des armoiries princières de la famille des Cantacuzène, posées sur le fronton circulaire au-dessus de l’entrée principale. Le fameux auvent protège deux énormes copies des lions qui ornent le Palais des Tuileries, à Paris.

Qu’est-ce qui a lié la propriété des Cantacuzène à George Enescu ? La réponse est à trouver dans la personnalité très spéciale de Maruca Rosetti-Tescanu, épouse Cantacuzino par son mariage avec un des fils du Nabab, qui a épousé en secondes noces le grand compositeur. Le couple Maruca – George Enescu a habité peu de temps dans cet immeuble, lui préférant, de toute façon, la petite villa derrière le palais, qui abrite aujourd’hui la Maison - Musée « George Enescu ». D’allure beaucoup plus modeste, en harmonie avec la modestie du compositeur, la villa est imprégnée d’une atmosphère Belle-Epoque. On y trouve des objets personnels du maître et de son épouse, témoignages à valeur unique, surtout rassemblés dans la chambre d’Enescu et dans le petit salon où le couple recevait ses amis. George Enescu quittait ce monde en 1955.

Quelle fut l’histoire du palais Cantacuzino après cette date, c’est à Laura Manolache de nous le dire : « En 1956, une année après le décès de George Enescu, Maruca continue un plan mis en page avec son mari et sollicite à l’Etat roumain de créer un musée à la mémoire du compositeur. Elle a voulu y léguer tout le patrimoine hérité en tant que veuve d’Enescu. Le Musée, effectivement fondé en juin 1956, a reçu de la part de Maruca Cantacuzino les cinq violons d’Enescu, ses pianos, ses manuscrits, sa correspondance, des photos etc. L’Etat roumain allait lui payer en échange une rente viagère de 3000 francs français, qu’elle a touchée pendant 13 ans, jusqu’à sa mort en 1969. En 1967, Maruca a donné au musée cet immeuble de Calea Victoriei (avenue de la Victoire), le palais Cantacuzino avec ses trois ailes. »

Le Musée national „George Enescu” a aujourd’hui trois sections : le palais proprement-dit, la villa « Luminiş » (Clairière) de Sinaia et la section « Dumitru et Alice Rosetti-Tescanu » de Tescani. Dans toutes ces trois filiales, le musée accueille des manifestations culturelles et musicales, qui rappellent les soirées et les récitals du temps où George Enescu et Maruca Cantacuzino régnaient en maîtres sur la vie culturelle de Bucarest. (aut. : Christine Leşcu ; trad : Ileana Ţăroi)

Source: Radio Romania International (21/09/2012)

                                                                   ************************************
Lors de votre séjour à Bucarest, je vous recommande la visite du musée George Enescu, abrité dans le Palais Cantacuzino.

www.georgeenescu.ro





Entrée du Palais Cantacuzino

dimanche 7 octobre 2012

Football: destination Brazil 2014

La Roumanie espère être de la Coupe du Monde de football qui aura lieu en 2014 au Brésil.

Ses deux premiers matches se sont soldés par une victoire contre la Lettonie et contre Andorre. Les matches suivants risquent d'être un peu plus corsés.


L'équipe qui a battue Andorre 4 - 0

Demandez le programme du groupe D dans lequel on retrouve également les Pays - Bas, la Hongrie, la Turquie, la Lettonie et Andorre.

07/09/2012: Estonie - Roumanie       0 - 2
11/09/2012: Roumanie - Andorre      4 - 0
12/10/2012: Turquie - Roumanie
16/10/2012: Roumanie - Pays Bas 
22/03/2013: Hongrie - Roumanie
26/03/2013: Pays Bas - Roumanie
06/09/2013: Roumanie - Hongrie
10/09/2013: Roumanie - Turquie
11/10/2013: Andorre - Roumanie
15/10/2013: Roumanie - Estonie

La Roumanie occupe la 1ère place avec 6 points devant les Pays - Bas (6 points également)





Coupe de Roumanie: 1/8èmes de finale

Le tirage au sort des huitièmes de finale de la Coupe de Roumanie a eu lieu le 3 octobre dernier.

Les rencontres sont les suivantes:

 Rapid Bucuresti vs Delta Tulcea (30/10/2012)

 CF Brăila vs Oţelul Galati (01/11/2012)
 CFR Cluj vs FC Botoşani (31/10/2012)
 Concordia Chiajna vs Steaua Bucuresti (31/10/2012)
 Pandurii Târgu Jiu  vs Dinamo Bucuresti (01/11/2012)
 Astra Giurgiu vs CS Severin (01/11/2012)
 FC Braşov vs Petrolul Ploiesti (30/10/2012)
 Ceahlăul Piatra Neamt  vs Gaz Metan Medias (31/10/2012)

Le tenant du titre 2011 - 2012 est le Dinamo Bucuresti.


Roumanie: souvenirs de vacances 2012

De retour... Non, pas de Roumanie. De ma léthargie :))

Et pour bien reprendre le cours de mon blog consacré à la Roumanie, je vous propose de partager quelques photos prises lors de mon dernier séjour en septembre. Qu'elles vous donnent envie de vous y rendre.

Cette année encore et pour la troisième, la majeure partie des photos ont été prises à Bucarest, en dehors d'une petite excursion à Curtea de Arges.

Alex, Miki (à qui je dois quelques-unes des photos) et moi


Les Jardins de l'Athénée roumain

L'église luthérienne

Votre serviteur devant la Résidence patriarcale (résidence du patriarche de l'église orthodoxe roumaine)

Deux écureuils paisibles dans le parc Herastrau

L'église Sfanta Vineri, financée, dit-on, par Gigi Becali

L'Eglise patriarcale sur la colline de la Métropole

Curtea de Arges: Eglise princière St Nicolas

Façade de la Gare de Nord

Tour de l'horloge de la Gare du Nord

Lac Herastrau dans le parc du même nom

Curtea de Arges: Aghiazmatar faisant face à l'église du monastère

Curtea de Arges: détail de la façade de l'église du monastère

Curtea de Arges: l'église du monastère

Curtea de Arges: église du monastère

Curtea de Arges: intérieur de l'église du monastère

Curtea de Arges: intérieur de l'église du monastère

Entrée du palais Cantacuzino qui abrite le musée George Enescu

La façade du Musée National des Arts, ancien Palais Royal.

Le Palais patriarcal sur la Colline de la Métropole, équivalent du Vatican.

Parc Carol, l'allée centrale vue de l'entrée

Parc Carol: l'allée centrale vue du Mausolée

Parc Carol: le Mausolée

Parc Cismigiu

Parc Herastrau

Parc Herastrau

Parc Tineretului

Parc Tineretului, l'entrée vue de l'intérieur

Cierges et prières à l'intention des morts. Chaque église possède  un emplacement de ce type, à l'extérieur, bien souvent dans un bâtiment annexe

Le même emplacement à l'intention des vivants.

L'entrée de la Résidence patriarcale

La salle du Palais, construite en 1960, où Ceaucescu avait l'habitude de prononcer ses discours

La statue de Charles de Gaulle à l'entrée du parc Herastrau, place Charles de Gaulle.

Statue équestre du roi Carol Ier devant la Bibliothèque Universitaire

La tombe de Nicolae et Elena Ceaucescu, cimetière de Ghencea

La Bibliothèque Universitaire

Curtea de Arges: la gare, côté voies.

Parc Carol: le Mausolée

Et pour votre séjour à Bucarest, je vous recommande l'appart-hôtel Bucharest Accomodation. Les appartements sont situés Strada Luterana (face à l'église luthèrienne ci - dessus).
A proximité du Centre Ancien (Lipscani), du Musée National des Arts, de la Gare du Nord, de la Calea Victoriei,de l'Athénée Roumain... A 10 minutes du métro (station Piata Româna). Bref, près de tout ce qu'il y a voir à Bucarest.
Vous y serez accueillis par Monsieur Balasoiu qui parle admirablement bien le français. Il vous expliquera mieux que moi ce qu'il faut voir à Bucarest et comment vous y rendre.
Pour moins de 35 euros la journée, vous séjournerez dans un appartement de qualité.

Pour tout contact:
    * contact@bucharestaccommodation.com
    * 0040723214491 (portable)

Et pour se restaurer me demanderez - vous: 
Pour une initiation à la cuisine roumaine, il y a La Mama à quelques pas de l'appartement.

Bucarest, et notamment le Centre historique, regorge de restaurants de toutes nationalités et pour tous les budgets.